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20 septembre 2020Terranjou disposera d’une maison de santé pluri-professionnelle qui accueillera médecins, kiné et infirmières. La première pierre de ce projet tant attendu en a été posée jeudi.
René Bidal, préfet du département, Marc Schmitter, président de la communauté de communes Loire Layon Aubance, et Maryvonne Martin, maire déléguée de Martigné-Briand, ont posé de la première pierre de la future maison de santé.
Le + 
AB Ingenierie oeuvre en collaboration avec le cabinet d'architecture Lionel vie et associès sur la réalisation de ce pôle santé..
Les élus locaux rêvaient de réunir sous un même toit, à proximité du centre hospitalier et de la maison de retraite de Martigné-Briand, médecins, infirmières et kinésithérapeutes. Autour de René Bidal, le préfet du département, Marc Schmitter, président de la communauté de communes Loire Layon Aubance, et Maryvonne Martin, maire déléguée de Martigné-Briand, ont posé jeudi la première pierre de la future maison de santé pluri-professionnelle.
« Une nouvelle offre de soins »
L’épilogue d’une longue réflexion amorcée il y a une dizaine d’années autour de Michel Piron, alors président de la communauté de communes des coteaux du Layon. « Plusieurs médecins libéraux partaient à la retraite, » se souvient Maryvonne Martin. « On s’interrogeait alors sur le devenir de l’offre de soin. »
Prenant en charge la « compétence santé », l’intercommunalité s’était alors saisie du projet et avait acquis un ensemble de terrains au cœur du village. Les années ont passé. Les professionnels ont réorganisé leur pratique autour d’Atlas, une Association Territoire Layon Aubance. Une bonne quarantaine de praticiens, tous métiers confondus, s’y retrouvent autour du Dr Jacques Emeriau « pour proposer une nouvelle organisation dans l’offre de soins ».
Le projet a mûri au fil des ans. Les Coteau du Layon ont rejoint le Loire Layon et le Loire Aubance au sein d’une Loire Layon Aubance. « J’ai découvert ce projet en 2017, confie Marc Schmitter, son président. Dix ans de gestation, c’est long. Mais le projet est désormais bien ficelé, et les engagements de chacun clairement définis. Au sud du territoire intercommunal, à l’écart des grands axes de communication, ce secteur reste fragile. Cette maison de la santé est de nature à maintenir, voire à créer, ici un regain d’activité. »
René Bidal, préfet du Maine-et-Loire, n’en pense pas moins. Avant de saluer « une réussite qui reste aussi celle du personnel soignant, médical et paramédical », il a souligné « l’exemplarité de la démarche » pour mettre en avant « la volonté d’une collectivité qui n’a pas hésité à prendre une compétence nouvelle pour s’impliquer dans une stratégie de territoire. »
« Une nouvelle offre de soins »
L’épilogue d’une longue réflexion amorcée il y a une dizaine d’années autour de Michel Piron, alors président de la communauté de communes des coteaux du Layon. « Plusieurs médecins libéraux partaient à la retraite, » se souvient Maryvonne Martin. « On s’interrogeait alors sur le devenir de l’offre de soin. »
Prenant en charge la « compétence santé », l’intercommunalité s’était alors saisie du projet et avait acquis un ensemble de terrains au cœur du village. Les années ont passé. Les professionnels ont réorganisé leur pratique autour d’Atlas, une Association Territoire Layon Aubance. Une bonne quarantaine de praticiens, tous métiers confondus, s’y retrouvent autour du Dr Jacques Emeriau « pour proposer une nouvelle organisation dans l’offre de soins ».
Le projet a mûri au fil des ans. Les Coteau du Layon ont rejoint le Loire Layon et le Loire Aubance au sein d’une Loire Layon Aubance. « J’ai découvert ce projet en 2017, confie Marc Schmitter, son président. Dix ans de gestation, c’est long. Mais le projet est désormais bien ficelé, et les engagements de chacun clairement définis. Au sud du territoire intercommunal, à l’écart des grands axes de communication, ce secteur reste fragile. Cette maison de la santé est de nature à maintenir, voire à créer, ici un regain d’activité. »
René Bidal, préfet du Maine-et-Loire, n’en pense pas moins. Avant de saluer « une réussite qui reste aussi celle du personnel soignant, médical et paramédical », il a souligné « l’exemplarité de la démarche » pour mettre en avant « la volonté d’une collectivité qui n’a pas hésité à prendre une compétence nouvelle pour s’impliquer dans une stratégie de territoire. »